Notre expertise

Nous accompagnons les TPE, PME, ETI et Organisations dans la définition et la mise en œuvre de leur stratégie de responsabilité sociétale, de l’identification des enjeux, l’analyse du rapport de diagnostic et de performance, la définition des orientations, et le déploiement des plans d’actions.

Nous sommes spécialisés pour le profil spécifique des PME et des ETI, afin de mettre à profit leur agilité
et leur force d’adaptation et combler leur manque de temps et de ressources. Notre formation aux référentiels RSE les plus exigeants nous permet d’avoir une vision globale des différentes règlementations et de mettre en place des stratégie RSE anticipant les évolutions légales afin de donner une longueur d’avance à nos clients.

Nos certifications officielles nous permettent de vous conseiller au mieux
dans vos demandes de labellisation.

En collaboration avec un service interne dédié ou en totale autonomie, nous construisons votre stratégie
de responsabilité, définissons vos axes d’engagements et les actions à mettre en œuvre. Nous accompagnons la mise en place de votre stratégie responsable au cœur de votre organisation et déployons les solutions adaptées à votre profil.

Nous intervenons à toutes les étapes de la démarche RSE quel que soit le degré de maturité de nos clients,
qu’ils aient ou non amorcé un engagement RSE, ou déjà mis en place des actions d’engagement mais sans politique RSE structurée.

Ainsi nous vous accompagnons dans :

• Diagnostic RSE de l’existant
• Définition des orientations de la stratégie RSE
• Déploiement et appropriation des processus / Définition des axes de stratégie
• Accompagnement et assistance au pilotage du Plan d’Actions
• Assistance à la certification (Labels Envol, Lucie 26000, Numérique responsable…)

La notion de développement durable nous invite à repenser le développement de façon qu’il réponde
aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux
leurs.

Pour ce faire, les activités de création de richesse doivent tenir compte de trois dimensions indissociables :

• Environnementale : réduire les émissions de gaz à effet de serre et de toute autre substance affectant la couche d’ozone ; permettre une meilleure utilisation et une meilleure gestion de l’énergie ; protéger la biodiversité ; etc.
• Sociale : maintenir et améliorer les conditions de travail ; permettre un transfert des connaissances et des compétences à l’ensemble des parties prenantes ; permettre une répartition adéquate des richesses ; favoriser l’ancrage dans le milieu ; etc.
• Économique : augmenter l’efficacité de l’entreprise et du secteur d’activité ; favoriser les bonnes pratiques et les relations commerciales ; favoriser l’innovation ; favoriser l’approvisionnement responsable ; etc.

Risques environnementaux : Toutes les activités économiques ont un double impact sur l’environnement :
elles y puisent des ressources naturelles (matières premières, énergie, eau, sol, etc.) dont elles ont besoin pour
fonctionner et y rejettent des déchets (eaux usées, fumées, poussières, etc.). De cette manière, elles contribuent à la dégradation de l’environnement.

Risques sociaux : Mesurer ou auditer le climat social d’une société revient à évaluer et comprendre la perception
qu’ont les collaborateurs sur tel ou tel aspect de la vie sociale de l’entreprise tels que l’implication des collaborateurs, la charge de stress, la qualité du management, la satisfaction de la politique de rémunération, la
communication interne, la motivation, etc. La mesure du climat social est aussi une étape indispensable pour détecter et appréhender d’éventuels risques de conflits sociaux (manifestions, grèves, « guerres de services », etc.) et risques psychosociaux (mal-être au travail, « rupture des communications », démotivation profonde,…) pouvant avoir des répercutions très dommageables (à la fois pour les collaborateurs qui en sont les victimes mais aussi pour l’entreprise qui ne peut plus se développer normalement).

Risques économiques : Une étude, publiée par le Natural Marketing Institute, montre que plus de 65% des Français choisissent d’acheter ou au contraire de boycotter les marques, en fonction de leur perception des valeurs qu’elles défendent.

Être une entreprise socialement responsable n’est désormais plus accessoire. Celles qui n’ont pas de démarche RSE risquent simplement d’être sanctionnées : boycott des consommateurs, Bad buzz sur les réseaux sociaux,
recrutement difficile, turn-over élevé, etc.

Impliquer l’entreprise dans des convictions (Fibre écologique, valeurs sociales, proactivité)

Différencier l’entreprise de la concurrence (Être précurseur)

Améliorer la rentabilité de l’entreprise (Réduction des coûts, préventions des risques, gains de
productivité), développer la transition numérique.

Développer la « Marque Entreprise » (Préoccupations sociales et environnementales fortes, possibilités
d’obtention de labels)

Attirer des talents et fidéliser les collaborateurs (Culture d’entreprise, optimisation des conditions de
travail…)

Accéder aux financements bancaires pour les projets de transition (volets social, économie d’énergie,
environnement..)

Répondre à la commande publique qui exige désormais des actions tant sur le développement durable que
sur une politique RSE.

Augmenter la notoriété et la confiance client confirmé par l’intérêt croissant des consommateurs ou des
investisseurs pour ce type d’« organisations engagées ».

Utiliser la RSE comme levier d’innovation, pour améliorer la rentabilité de l’entreprise

Une enquête menée par France Stratégie et réalisée sur un très large échantillon de plus de 8 500 entreprises,
incluant les PME d’au moins 10 salariés (Elle prend en compte plusieurs dimensions constitutives de la RSE :
environnement et éthique, ressources humaines, relation client et relation fournisseur.), a mis en exergue que les entreprises engagées dans des pratiques RSE sont en moyenne de

13 % plus performante que les autres.

Être précurseur ! Se différencier de la concurrence est devenu indispensable

Dorénavant, avec la mondialisation, être concurrentiel devient une obligation, non seulement pour être viable, mais aussi pour pouvoir se développer, et cela concerne tous les secteurs d’activité.

Pour cela la RSE permet de :

Transmettre un message clair au client : un service de qualité dans une entreprise vertueuse.

Personnaliser une offre axée sur le développement durable pour mieux se démarquer de la concurrence.

Tenir compte de la diversité de profils des clients et d’entretenir une certaine proximité avec ces derniers.

Répondre à la demande de produits locaux ou « bio » s’inscrivant durablement dans les comportements d’achat, il
est important de valoriser l’origine et l’histoire des produits et les savoir-faire associés.

Se démarquer en misant sur la modernité et en s’adaptant aux enjeux tant du point de vue écologique et social qu’au niveau de la réponse aux nouveaux besoins du consommateur, tel les nouveaux marchés de l’éco-responsabilité.